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Histoire des anciennes voitures de collection et véhicules d'autrefois.

Des voitures de collection anciennes, classés par années de 1800 a 1959, les marques des constructeurs et les grands noms de l'automobile avec leur histoire, en images les automobiles de collection par marques et les non polluantes, recherche diverse sur les anciennes voitures de collection.
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Triumph TR2, voiture routière de 1953


La Triumph TR2, cette ancienne voiture automobile Cabriolet de sport fut construite en 1953.


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Triumph TR2, Années de production 1953 à 1955, Production 8 636 exemplaires, Classe Voiture de sport, Moteur 4 cylindres en ligne, Cylindrée 1 991 cm3, Puissance maximale 90 ch, Boîte de vitesses 4 vitesses manuelles, Poids à vide 935 kg, Vitesse maximale 172,7 km/h, Accélération 0 à 100 km/h en 12 s, Consommation mixte 8,19 L/100 km, Carrosserie Cabriolet.

La Triumph TR2 est une voiture de sport des années 1950 produite par la marque Triumph.

Elle est équipée d'un moteur Standard Vanguard à double carburateur de 1 991 cm3, qui développe 90 chevaux.

Elle peut atteindre 172,7 km/h.

Triumph lance le premier modèle de sa gamme TR, la Standard Vanguard 20TS au Salon automobile de Londres de 1952 en même temps que sa concurrente directe l’Austin-Healey 100 tout en étant beaucoup plus sobre et moins chère.

Après une période de mise au point placée sous l'autorité de Ken Richardson et visant à rigidifier le châssis du prototype, la TR2 (TR pour Triumph Roadster) est commercialisée en juillet 1953.

Offrant le meilleur rapport prix/performances du moment, elle connaît un succès immédiat, notamment aux États-Unis qui vont absorber plus de 70 % de la production.

Construite par le groupe Standard Motor Co, la Triumph TR2 est née de la volonté de son propriétaire, sir John Black, qui avait assisté au succès de Jaguar et sa XK120, qui connaissait le succès aux États-Unis.

Sir John Black proposa à la famille Morgan de racheter leur marque (auquel il livrait des moteurs pour les modèles Four-four (4/4) et Plus-Four) et, devant leur refus, décida de se lancer avec sa propre marque Triumph dans la fabrication d'un roadster pour viser la même cible de clientèle américaine (souvent des anciens « Boys » qui avaient passé quelque temps en Angleterre durant la Seconde Guerre mondiale).

L'objectif de Sir John Black était d'arriver à proposer un véhicule à un prix très compétitif tout en permettant à ses propriétaires de gagner des rallyes en fin de semaine.

Cet objectif s'est traduit par deux contraintes : atteindre une vitesse minimale de 172,7 km/h, avec un prix initial de 500 livres sterling maximum.

Dans le but de réduire les coûts, la "Triumph Sports" devra se contenter d'éléments mécaniques piochés dans la banque d'organes du groupe.

Ainsi, la plate forme sera celle de la berline Standard Nine d'avant-guerre, la mécanique sera issue de la berline Standard Vanguard (qui dans une version modifié, équipe aussi un tracteur Massey Ferguson), et le train avant et le pont arrière seront ceux de la Triumph Mayflower.

Le moteur sera toutefois très modifié, muni de 2 carburateurs SU, d'un arbre à cames plus pointu, et sa diminution de l'alésage à 1 991 cm2 permettra à la voiture d'être éligible dans la catégorie « moins de 2 litres » en compétition.

Ce moteur plein d'allant mais affichant aussi une grande souplesse, économe à l'usage, robuste et facile à entretenir, procurera au roadster des performances très honorables pour l'époque.
Ce quatre cylindres va se révéler l'atout majeur de la voiture.[réf. nécessaire]

Le dessin de la carrosserie est confié à Walter Belgrove qui doit composer avec des formes simples (pas de double courbure) afin de réduire les coûts d'outillages et d'emboutissage.

L'objectif est lui aussi de ressembler au plus près à la Jaguar XK120 avec ses phares globuleux à demi intégrés, des portières échancrées dépourvues de vitres, un joli arrière rétréci et effilé et une absence de calandre (les Anglais appelleront la calandre bomb hole (trou de bombe) par dérision).

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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Triumph ", Royaume Uni 1923 - 1983.

Cette célèbre firme de motocyclettes réalisa, en 1903, un tricar, mais les quatre roues ne furent pas présentes avant 1923, date à laquelle parut une voiture 4 cylindres 10/20, avec moteur Ricardo à soupapes latérales, la production commença dans l'usine précédemment occupée par Dawson.

En 1925, cette voiture fut remplacée par une 13/30, 1,9 litres, la première voiture anglaise à avoir des freins hydrauliques.

Ni cette voiture, ni la 15 CV qui lui succéda, ne firent grande impression, mais, en 1928, Triumph présenta la Super 7, à soupapes latérales, 832 cm3.

Elle fut réalisée en version sport, à compresseurs, et en petite conduite intérieure familiale de qualité supérieure dont la fabrication fut poursuivie jusqu'en 1933-1934.

Les moteurs diesel Coventry-Climax firent leur apparition dans la Super 9 de 1932, date à laquelle les berlines Triumph eurent des portes sans montant.

Ces voitures familiales étaient toujours fabriquées en 1934.

1935 vit la sortie d'une voiture 8 cylindres en ligne, avec compresseur, double arbre à cames en-tête, 2 litres, très semblable à une Alfa-Roméo, qui fut un échec.

En 1936, les départements automobile et bicyclette furent séparés et, à partir de 1937, les voitures devinrent plus lourdes.

A partir de l'été 1938, le catalogue ne comporta plus que des Dolomite, le plus petit modèle étant une voiture de faible encombrement, avec moteur 1,5 litres (en fait 1767 cm3) sur un empattement de 2,743 m.

Au cours de l'année 1939 parut une berline sport 12 CV de style classique.

Cinquante exemplaires seulement purent être réalisées, car la firme fut mise en faillite juste avant la Seconde Guerre mondiale.

Après l'arrêt de la fabrication de la berline Renault de 2,1 litres, à carrosserie en lame de couteau, au début de 1955, la TR fut l'élément essentiel de la gamme Triumph jusqu'au milieu de 1959.

En 1962, la TR4, avec sa carrosserie modifiée, un moteur 2,1 litres, une direction par crémaillère et pignon, une boîte de vitesses entièrement synchronisées, fit son apparition.

Elle fut dotée d'une suspension arrière indépendante et prit le nom de TR4A en 1965.

Triumph offrait également une conduite intérieure 6 cylindres 2 litres, 90 CV, la 2000, qui sortit en 1964.

En 1970, Triumph introduisit la Stag, une voiture sportive de luxe 2+2 équipée d'un moteur V8 de 3 litres, à double arbre à cames en-tête, de conception Triumph, développant 145 CV.

Dans la gamme 1971 figuraient la conduite intérieure Toledo 2 portes en remplacement de l'Herald.




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